Traduire, c’est maquignonner

Frère d’âme de David Diop conte la guerre 14-18 vu par le regard d’un tirailleur sénégalais. L’extrait suivant le met en scène convoqué par ses supérieurs, lesquels ne parlent pas la même langue, ce qui lui inspire alors cette petite réflexion. Traduire, ce n’est jamais simple. Traduire, c’est trahir sur les bords, c’est maquignonner, c’est… Poursuivre la lecture Traduire, c’est maquignonner